samedi 9 juin 2012

samedi 5 mai 2012

Un tout, un rien.

En fait, on aurait dit quelque chose d'abstrait, et non quelqu'un d'original. Non pas forcément par son extérieur, mais par ce qui lui grouille à l'intérieur de son corps. En particulier à l'endroit des pensées: le cerveau.
Lui qui le contrôle; lui qui le dirige; LUI, ce petit avorton qui refuse l'idée de se faire comprendre aux yeux de certaines personnes. Ce petit truc gluant, rosâtre, dégoûtant étouffé de veines qui a réussi à me faire abandonner et à laisser son corps, son outil de déplacement plongé dans le mystère où celui-ci paraît totalement perdu. L'est-il, ne l'est-il pas? 
Penser, Parler, et Agir sont complices afin de tromper, tromper sa propre racine par peur de l'humiliation, de la confrontation, des réactions, et bien d'autres encore. Seulement, ils peuvent eux-même se tromper, et leur complicité n'est plus. Au final, l'interlocuteur reste perdu dans sa méfiance la plus totale tel un étranger allant manger un plat en Chine, se méfiant du stéréotype des chinois mangeurs de chien, par exemple. Nous nous noyons entre l'Océan des rumeurs, l'Océan des mensonges, mais aussi la Mer du mystère. Et pourtant, ce mélange menant à l'intrigue et à la curiosité nous ordonne d'aller plus loin, si l'on a le courage adéquat à la situation.
Je n'sais pas si je devrais haïr.
Non. En réalité je déteste haïr, je suis ce genre de personne presqu' insupportable, à toujours rire pour un rien. Mais malheureusement, nous ne pouvons pas nous forcer à détester, ni à aimer quelque chose ou bien quelqu'un. Alors j'attends. J'attends que tout se calme pour enfin me concentrer, et contrôler mon impulsivité, à comprendre, et me remettre en question de manière positive. 
Je n'sais pas si je devrais aimer.
Je n'sais vraiment pas. Et j'n'ai pas vraiment d'arguments. 
Quoique. Nous ne savons rien de concret, nous n'avons que ces deux choses difforme sur les 2 côtés de notre crâne, et nos lunettes intérieures pour nous aider. Nous aider à nous donner des illusions: soit mauvaises, soit bonnes. Mais ensuite?

Rien. 
Seulement un brin de poussière. Une simple petite trace de toute une émotion disant "j'ai été ici", sans savoir pour autant ce qu'il ait pu se passer.




dimanche 13 novembre 2011

Don’t listen to the world, they say we’re never gonna make it.




Doute:


Incertitude sur l’existence ou la vérité d’une chose, sur la vérité ou la fausseté d’une idée. Être en doute. Laisser en doute. Mettre une chose en doute, la révoquer en doute, En contester la certitude. 


   Se méfier:




Ne pas se fier à quelqu’un, à ce qu’il dit, à ce qu’il fait paraître, parce qu’on le soupçonne de peu de fidélité, de peu de sincérité.


Par ce fait, ces deux définitions correspondent en ce moment même à ce que ressent l'organe me servant à faire vivre mes membres, en le transmettant à cette chose grouillante à l'intérieur de mon crâne.
Par ici, j'entends qu'il m'est difficile de ne pas passer par la case "Angoisse", avec un grand "A". Il m'est quasiment impossible d'avoir une confiance au maximum envers quelqu'un, bien que cette personne puisse m'être vraiment proche.C'est aussi la crainte, la peur d'être dupée. Je cogite. J'ai peur. J'ai la peur de devoir vivre de nouveau les sentiments que je veux éviter de recroiser. De regarder de nouveau ce dilemme entre foncer tête basse et tant pis des conséquences, et s'inquiéter, faire attention et ne rien ressentir. J'ai pour horreur, me rendre compte que j'attache de l'importance à qui que ce soit, ou quelque chose. La méfiance  est présente du début à la fin. Se reposer sur ses lauriers est un risque à vivre au bout d'un moment, apaisant, rassurant, mais surtout fugitif. D'où la dangerosité des conséquences possibles. Mais finalement, je crois préférer prendre des risques, peu importe la suite. Il est vrai qu'il est difficile de trier le bon, et le mauvais, si le doute est présent. Le doute  n'est peut être pas forcément en la personne en elle même ou ses faits et gestes, mais en ses paroles. Les gens se basent sur ce qu'ils ont connu, et gardent le souvenir en tant que présent, et c'est ce qui est déstabilisant. Pour ces personnes, il n'y a pas de passage au changement, ils gardent un même avis sur un long terme. J'ai appris à me méfier, à détruire cette naïveté, mais j'ai aussi appris à faire confiance ; chose des plus difficiles, qui consiste alors à garder ce fond de connerie. C'est à ce moment-ci que je me déçois. Le doute se transforme en regret. Mais je n'en ai nullement envie, bien que dans tous les chemins possible, le regret reste devant nous, que ce soit positif ou négatif. Vous voyez? Et La question reste toujours, et toujours la même : "Que faire" où les réponses demeurent les mêmes aussi. Douter. C'est aussi se rendre compte que cette chose a une certaine importance à nos yeux; commencer à prendre certaines choses trop à coeur pour ce qui pourrait ne pas l'être au départ. Parfois, c'est le hasard qui s'en charge. La vie'est  en fait un peu similaire à un jeu vidéo où l'on a le droit à un "Nouveau jeu", "Recommencer", et "Quitter" où l'option "sauvegarder" serait automatiquement mise à chaque moments, que l'on le veuille ou non afin de marquer notre mémoires des bons comme des plus horribles. Les niveaux "Facile", "Moyen" et "Difficile" aussi intenses qu'ils le permettent, où les émotions sont décuplées selon la difficulté :La colère, la joies, la tristesse, et autres sentiments. Ceci concerne tous les domaines de la vie. Mais après tout, il faut savoir vivre de soi, ne pas compter sur les autres. Il vaut mieux ne rien entendre sur une personne afin de ne pas être influencé, que ce soit par une bonne, mauvaise image, et connaître par soi même, tout en restant sur ses gardes, malgré avoir déjà vécu cette faute, qui pourrait ne pas en être une dans certains cas. D'autant plus qu'avec une certaine influence d'avis d'autres personnes, le doute est volontaire pour rester.  Ceci m'emmène à parler de confiance. Si la confiance n'existait pas, le doute et la méfiance non plus n'existeraient pas. Les mensonges aussi. Je suis comme qui dirait, une personne qui réfléchi trop lorsqu'il ne le faut pas, pas assez lorsqu'il en est primordial. Je suis mal réglée, voilà tout. Cela dit, je ne pense pas être dans ce cas, tout le monde ait des erreurs, et personne n'échappe à cette règle. 

" Je suis triste mais quelque part je suis vraiment content de pouvoir ressentir cette tristesse, c'est comme une... sorte de preuve que je suis vivant ! Que je suis un être humain ! Et la seule chose qui me permette de ressentir cette tristesse, c'est qu'avant j'ai vécu des trucs vraiment cool donc je dois accepter le bon et le mauvais. Je crois que ce que je ressent là, c'est une "merveilleuse tristesse ". Buters.

samedi 14 mai 2011

Un simple matin.



Sans texte.

Mais ma bonne humeur vous salue. 
Comme tous les matins.




mercredi 5 janvier 2011

Complètement débile.




En regardant cette collection que j'ai laissé augmenter après tout ce temps, la chose qui a tout de suite été évidente ont été mes plus belles conneries. Des choses par ci par là qui se sont imposées. Un choix de vie qui s'est plutôt bien intégré, ou presque. Une activité plus ou moins active, assez régulière. Un désir nouveau d'enchaîner sur de nouvelles choses, de nouvelles bases. Devoir encaisser des paroles dont l'expéditeur se trompe de destinataire, une sorte de remue-ménage qui ne laisse pas indifférent certaines personnes, toujours ces choses incompréhensives qui reviennent où malgré tous ces étonnements, rien n'est encore perçut, pas de prévoyance. Ce qui met en doute des propos de certains, souvent les même par ailleurs. Apprécier ce genre de vie, accepter ces alinéas de la vie, et ce même si la maturité de beaucoup de gens, y compris moi est irrégulière. Agir sur le coup de l'impulsivité, ou bien réfléchir avant. Parfois la colère est bien plus grande et le diable fait son retour, il gagne à coup sur ; et nous perdons la partie. Réfléchir aussi peut gagner notre perte, on laisse le temps au problème de s'immiscer dans un cercle vicieux qui appartient aux personnes concernées.  Par tous les moyens que l'on puisse trouver, tous seront les mauvaises, les solutions ne sont jamais bonnes. Et si par malheur on avait le dédain de vouloir me détruire, n'avoir juste en tête une idée de consolider ma colère, monter la température au plus loin de sa limite, ce projet n'aura peut être plus lieu d'être abouti. Soudoyer des conneries une à une, en tirer profit de mauvaises conséquences me rend nerveuse  ; je n'aime pas affoler ma nervosité. Une, ou plutôt des pensées abstraites m'appartiennent, une sorte de gribouillis auxquels tout est mélangé, rien n'est accordé, une image absurde émergeant  le fond de cette chose qui me sert pour savoir penser et réfléchir. Moi même une oasis de melting-pote remplie de rage, d'inquiétude et de joie. Je me décide de jouer avec vous, avec vos nerfs autant que vous jouez avec les miens. Et ceux, jusqu'à ce que l'un craque et fuit, souvent moi. Je ne supporte plus grand monde, les conflits, c'est une chose qui rebute cette part d'agressivité que je me connaissait déjà.  Se sentir coupable, ressentir une culpabilité qui, pourtant ne devrait pas être présente est un défaut des plus totals. Parfois savoir si l'on est  beaucoup trop gentil ou beaucoup trop ferme est une question dure à y répondre. Esprit contradictoire où je suis étrangère de mon propre corps Je ne désire plus rien maintenant ; &Si je désirerais quelque chose, j'aimerais seulement ne plus avoir ce désir, seulement ne plus vouloir. Il n'y a plus de motivation, seulement de la démotivation. Une divinité extrême se joue de ma tête, en accord avec le mal. Ça suffit de ces mensonges, de tout ce que le monde influence ces personnes entamant conneries sur conneries et il est hors de question de se fondre dans cette masse là. Je pourrais être capable de lapider toutes personnes voulant m'ennuyer sérieusement. J'ai beaucoup d'estime, beaucoup trop d'ailleurs pour ces personnages qui n'ont, définitivement pas compris que décevoir est une chose qui m'inculque. Certes, je déçois aussi ; mais j'essaye de faire en sorte de comprendre si leur estime vaut celle que je leur importe, seulement certaines personnes ne sont pas directes et ne savent pas aller au bout de leur pensées et me laissent alors dans le doute. C'est une chose que je ne comprends pas, où lorsque tu viens de connaitre une personne, celle-ci est magique, te redonne un sourire certain, et est d'une tendresse inébranlable, adorable, où plus le temps passe, moins celle-ci te respecte. Et me laisser pleinement à l'intérieur de ce doute me trouble littéralement pour ensuite faire une ou des choses qui leur déplaisent. Et c'est justement ce que je reproche à ces personnes là, qu'on me dise clairement les choses pour que j'y fasse quelque chose, ou alors attendez vous à être déçus. Je n'aime pas chercher, curieuse, certes mais de frotter la terre à terre pour, au final se retrouver nez à nez aux reproches incessantes, ou bien au mécontentement mais encore, ne rien trouver. Perdre son temps, je déteste ça. Quoiqu'il en soit, ce n'est pas toujours réciproque ; éventuellement on pourrait penser que je suis trop à fleur de peau, ou bien que je suis trop dure. Mais à ce moment là, réfléchissez si mon comportement est le même avec tout le monde, et la différence sera présente ; et peut être que d'autres comprendront pourquoi cet agissement à leur égard. Et c'est d'ailleurs bien dommage que personne ne se rendent compte de nul de ce qu'il se passe. Et ce n'est qu'une fois le sol dépassé, que, par miracle la conscience remonte. Seulement, à ce stade mon humeur en rira de moquerie et manquerai de jugeote pour m'en apercevoir, faute de dire "Tant pis? Bien fait pour ta gueule?". A force d'avoir trop été indulgente on perd beaucoup trop, et on ne gagne rien, et rien n'allège la conscience, tout simplement parce que tout reste immobile dans ce coin perdu loin d'une surface externe et flamboyante aux yeux d'un quelconque personnage , qui est sans doute inutile. Au dernier abord je m'étais fixée la limite du Carpe Diem, seulement faute de répéter mes moindres paroles déjà prononcées il faut savoir se résoudre à abandonner tout ce qu'il y a d'inintéressant et faisant parti des méfaits de la vie. Toutes ces années qui passent ne changent pas forcément les plus mauvais, ni les meilleurs, tous ont des objectifs et non des résolutions. D'autres s'immergent dans une forteresse loin de tout contacts corporels par peur de faire du mal, ou avoir peur de se faire mal. Et ne comprend plus personne. Malgré tout, quand une personne s'en va au loin, une autre revient.  Une situation parfois comique, mais sachant donner du réconfort, dans son inconscience la plus totale, cette présence me fait du bien. Moi même je fuis, je fuis des  gens, allez savoir pourquoi. ; et pourtant, je déteste toute forme de fuite, paradoxe assez terne de ce qu'on peut imaginer comme terme.  C'est une sorte de quête, une quête inconnue dont la raison n'a plus de sens, ce que nous faisons maintenant, à chaque moment, ne veulent plus rien dire et font de nous des X des mathématiques. Je ne me connais plus. Faites l'amour à vos mépris, engagez vous dans une rengaine inférieure à la votre, maculez votre hypocrisie de votre douceur forcée, faites vous plaisir. Et faites vous baiser par vos actions. Quoique, je ne souhaite rien, c'est une pensée inutile ; étant donné que toutes les actions sont sous forme de boomerang. Et toc.


Don't hate the player, hate the game.